La croyance des Assasins a plus de 10 ans, et c’est l’une des séries les plus longues du 21e siècle. Pensez juste, mais je pense, parce qu’hier, j’ai pris un disque d’un ami, avec un sans-précédent et inconnu de mon jeu plus tôt. Beaucoup de temps s’est écoulé depuis lors, il y a eu des hauts et des bas, de bonnes parties et pas très, et d’une orientation purement de jeu, la série est devenue une franchise de médias, et tout cela n’aurait pas pu être.

Je pense que maintenant, pour n’importe qui, ce ne sera pas une nouvelle que la première partie n’était pas prévue non pas comme le début d’une nouvelle série, mais comme une spin-off à un autre prince de Perse, mais je le mentionnerai toujours en bref. Après le prince de Perse: The Sands of Time, l’équipe des développeurs a été divisée: une partie a continué à faire une suite directe, Prince de Perse: le guerrier à l’intérieur, et l’autre spin-off, Prince of Persia: Assassins.

L’une des personnes clés du studio était Patrice Dezile, le directeur créatif de The Sands of Time, qui était l’initiateur de nombreuses solutions. Par exemple, c’est lui qui a suggéré de ne pas raconter un autre «conte de fées oriental», mais au contraire, de déplacer l’objectif de l’histoire du prince à ses gardes du corps, les mystérieux assassins qui, selon l’intrigue, désolé pour la tautologie, devaient le garder. Pour plus d’informations, il s’est spécifiquement tourné vers des livres sur l’histoire, et sur cette base a formé son concept, changeant naturellement quelque part et complétant les faits réels. Cela a été de plus en plus déformé par le nouveau jeu du «Korop», et finalement, Ubisoft a simplement rejeté le projet, craignant peut-être la colère des fans, en raison du fait que sous la marque, il ne sortait pas ce à quoi ils s’attendaient. Cependant, tous les développements de studio, l’éditeur a décidé de l’utiliser pour le jeu dans la nouvelle IP (propriété intellectuelle – propriété intellectuelle), et en mots simples, la série de jeux. Le jeu est sorti en novembre 2007 sur la PlayStation 3 et la Xbox 360, et six mois plus tard, il est apparu sur PC. Soit dit en passant, sans scandale, soit dit en passant: quelque part dans un mois, dans des circonstances inconnues, quelqu’un a "fusionné" la version complète du jeu, qui a indigné Ubisoft, car cela a décemment frappé les ventes du jeu.

T. S. La Creed d’Assasin est l’un de mes jeux préférés, dans un sens, il est même difficile pour moi de parler objectivement de cela, mais je vais toujours essayer, et j’éviterai un fanboy aveugle, enlevant les «lunettes roses» pour cela.

Les actions du jeu se déroulent dans deux époques que tout le millénaire partage entre eux. Dans le présent, nous jouons pour Desmond Miles, un barman ordinaire capturé par une certaine société d’Abstergo. Avec son aide à obligation volontaire, ils essaient de se renseigner sur un certain artefact, en utilisant «l’animus», une machine, qui peut littéralement «découvrir» la mémoire génétique des ancêtres. Cependant, pour une raison quelconque, pour une raison quelconque, il n’est pas fourni à la fois, et le Desmonda doit survivre à tous les principaux moments de la vie de son ancêtre afin d’obtenir une synchronisation complète et, par conséquent, l’accès.

Dans le passé, les événements se déroulent https://winstlercasino.org pendant la troisième croisade, dont vous connaissez probablement les cours d’école, mais si quelqu’un a oublié les conditions préalables, alors je rappellerai brièvement. Selon les résultats de la seconde, Jérusalem, le principal bastion des croisés en Palestine, est tombé et a encore été influencé. Les monarques européens et le pape, voulant retourner le cercueil du Seigneur, déclarent rapidement une nouvelle campagne, et l’un des commandants devient le cœur de Richard Lion, le roi d’Angleterre. En plus des vrais aspects historiques du conflit, en la personne des croisés et des sarrasins, le troisième apparaît également – des assassins qui essaient de ne pas s’impliquer dans la confrontation entre les mondes chrétiens et islamiques, mais poursuivre exclusivement leurs objectifs.

L’histoire est au nom d’Altair et commence dans le temple de Salomon. Un groupe d’assassins est chargé d’un certain artefact, mais en raison de l’audace excessive et de la confiance en soi du protagoniste, la tâche n’est que miraculeusement accomplie, et lui, en tant que principal coupable, est privé du titre. Altair doit à nouveau gagner la confiance de l’enseignant et des frères; Il est chargé de tuer neuf personnes, des gouverneurs qui, alors que Saladin et Richard se préparent à la bataille, tournent certaines de leurs affaires derrière eux.

Des questions se posent du tout début. Qui sont ces neuf? Ce qui les unit? Quel est le problème? L’intrigue est vraiment intrigante, et avec chaque meurtre d’une des liste, l’histoire commence à s’éclaircir, et à un moment donné, il devient clair que la question n’est nullement dans la «redistribution» de la Terre Sainte, mais quelque chose de plus ambitieux; L’intrigue tient vraiment à la toute fin.

Comme je l’ai déjà noté ci-dessus, l’intrigue est vraiment bonne, mais une autre chose est sa mise en œuvre et sa présentation. Malgré des situations de jeu différentes tout en éliminant les objectifs, sur le chemin d’obtenir cette quête, vous effecturez les mêmes actions: entendu, voler, interroger, collecter les drapeaux et accompagner l’informateur pour découvrir les informations, merci qu’au moins les boîtes de dialogue changent. Et oui, louange du paradis, afin d’obtenir la quête principale, vous devez accomplir seulement 3/6 des tâches secondaires, mais croyez-moi, au milieu du jeu, vous en aurez assez d’une telle convention de jeu, et seul l’intérêt pour l’histoire elle-même continuera de bouger, à moins que ce ne soit.

Ok, ils ont compris l’activité principale, mais comment est-ce avec le secondaire, – vous demandez – et rien, – je répondrai. Voyez par vous-même, le jeu a un monde prétendument ouvert, ou plutôt pseudo-ouvert avec trois villes assez grandes, un petit village à côté du château et du vaste territoire entre tout cela. Cela semble impressionnant, n’est-ce pas vrai?

Et d’une part, oui, la Terre Sainte ressemble à ce que je représente en lisant à la fois des manuels scolaires et de la fiction. Les villes peuvent vraiment être considérées comme des illustrations encyclopédiques, bien que bien sûr, tout ne soit définitivement pas observé, mais néanmoins. Il existe également un mode séparé qui déconnecte complètement l’interface entière, provoquant, ou plutôt, non, offrant de vivre et de naviguer, écoutant le discours des passants – en remarquant les vues selon leurs célèbres signes que vous êtes vraiment là. Soit dit en passant, en plus du contexte historique, il est nécessaire d’affecter le côté esthétique. Damas et Jérusalem nous illustrent pleinement la beauté de l’Est, mais Ara a fait une impression plus forte sur moi. Akra, peu importe à quel point les sons paradoxaux et oxyuronno transmettent brillamment l’atmosphère de guerre. On peut voir que plus récemment, la ville était dans le siège, puis il y a eu une bataille, une bataille très sanglante. Les murs brisés sont visibles, toujours en train de fumer des bâtiments urbains, des cadavres de résidents locaux dans des rues étroites et non très, dans les ruelles, qui sont déjà sereins sous le soleil pâle. Seulement la mort, la faim, la dévastation partout. Goite-poule droite sur la peau.

Et en voyageant à travers la Terre Sainte, vous vous rencontrerez sur votre chemin de gens ordinaires marchant sous le soleil chaud, peut-être des pèlerins, des détachements armés patrouillant sur le territoire, des endroits où il n’y avait qu’une escarmouche, et bien sûr les bières militaires des Saracens et des croisés, où ils rassemblent clairement des forces pour la dernière (comme ils sont sûrs).

Mais de l’autre, non, car il n’y a tout simplement rien à faire là-bas; Le jeu est franchement pauvre pour les effets secondaires. Ce que les développeurs nous offrent? Collection de drapeaux, 60 chevaliers de foule dans le territoire qui doivent être tués, visitant les points de vue, le salut des civils et … et tout. Intéressant? Eh bien, je pense que la réponse est «à l’amateur» sera la plus juste. Il est dommage que les développeurs eux-mêmes ne soient pas très généreux et ne donnent rien particulièrement pour effectuer ces activités, à l’exception des lunettes de synchronisation, à la santé des autres jeux. Pour les "drapeaux", ils semblaient promettre une arbalète … ou ce n’était pas promis? Bien que, encore une fois, je n’ose pas appeler les points de synchronisation, j’aide vraiment à survivre, surtout au début, quand Altair est «un objectif comme un faucon», et n’a ni des équipements explicatifs, ni même des compétences (initialement nous avons accès à une épée et à une lame cachée, mais comme nous déménageons, nous recevrons à la fois des armes et des compétences utiles, par exemple, pour faire un coup de pouce) après une émission après un indemnité. Au fait, ici, notre principale compétence nous aide – furtivité. Sérieusement, se cacher dans le foin, parmi les moines, est assez souvent, et nous avons besoin dans des situations simples, par exemple, pour entrer dans la ville, et dans des plus difficiles, atteignant également notre objectif.

Creed d’Assasin donne définitivement un appel et développe non seulement Altair, vous avez contrôlé par vous, mais aussi vous. Vous voyez, le fait est que même lorsque vous retournez Altair toutes les compétences et équipements dans l’intrigue, le jeu ne deviendra pas facile, peut-être un peu. Parlant avec des mots simples, vous ne pouvez pas simplement bloquer le même émeuble en tissu (sans utiliser certains jambs dans l’IA lui-même) – il vous induira, et avec beaucoup de succès. En général, quelque part après 1/3 du jeu, vous comprendrez à peu près quand organiser une bataille épique «un contre tous, et tout contre un», et quand il est préférable de courir tactiquement les toits et de se cacher là-bas, par exemple dans le jardin; Eh bien, ou encore couper tous les poursuivants, les abandonnant.

Eh bien, quoi à la fin? La croyance d’Assasin, à mon avis, comme la première "crêpe", que souvent tout le monde devient bosselé. Vous voyez, il y a alors, mais quelque chose n’est pas encore. Il n’y a aucune sensation d’intégrité et d’exhaustivité, il y a une bonne intrigue, à mon avis, mais ses méthodes d’alimentation sont boiteux, il y a un monde pseudo-ouvert, mais en fait, ce n’est pas interactif, mais il n’existe que sous la forme de très beaux, mais d’autant plus, ils ne sont pas divers. Je comprends que la croyance d’Assasin n’est pas un RPG, et en outre, il n’a pas besoin de l’être, mais les quêtes Sid auraient dû être un peu plus élevées. Patrice Dezila et d’autres développeurs eux-mêmes ont admis que le jeu était très réputé, mais "pas comme la FIFA" est une citation, et ils ont dit qu’ils n’avaient pas réussi à réaliser pleinement, et je les croyais volontiers, d’autant plus que pour le studio, c’était le premier jeu avec un tel jeu de jeu. D’accord, faites un jeu de plateforme linéaire avec des éléments slasher et faites une action dans le monde ouvert de choses légèrement différentes, car ainsi?

Parlant, brièvement, Assassin’s Creed est un bon jeu qui pourrait être meilleur ou revendiquer un chef-d’œuvre, mais cela ne s’est pas produit, hélas. Cependant, pour Ubisoft Montréal et Patrice personnellement, elle est devenue juste la «bosse», après quoi les crêpes sont déjà parties, et pour certains «jeux pour tous les temps» complètement ». Cependant, c’est une histoire complètement différente … sur ce, j’écrirai la prochaine fois.